Isabelle MICHEL

Pour souvenir de notre amitié.
Je ne t'oublierai jamais ❤️

Ma ISA
Quelle tristesse m envahie depuis mercredi en ayant appris ton départ.
J accepte vraiment très mal, surtout qu on devait bientôt se revoir début septembre.
Tes occupations nous laissaient peu de place.
Par contre que de bons moments inoubliables à chaque fois.
Ce partage ,d échanges,confidences, leçons de vie, de survie même mais surtout que de fou rires .
Ça me resonne Encore.
Ce Super voyage à Lisbonne avec Les copines.
C'était magnifique, magique.
On reprevoyait de le refaire.
Tu étais si heureuse d y savoir ta fille installée.
J'ai un regret de Ne Pas être allée te voir plus souvent dernièrement
N ayant pas pu su Pour ta santé.
Tu es Une femme de caractère et de sensualité que j adore.
Notre franc parlé Nous refaisait faire le monde.
Toujours Avec Les couleurs , les épices et ta bonne Chaleur humaine.
Je suis dans le sud Pour Une semaine à l'Isle sur Sorgue.
Bizarrement Les villages référencés Pour la broquante,le Bon vin la joie comme toi TU aimes.
Je navrée de ne pouvoir être rentrée Pour lundi.
Je serais Avec ma petite sœur de cœur Mumu qui elle Aussi vient de souffrir ton absence.
On sera ensemble lundi de blanc vêtu te faire un hommage dans la forêt à Villeneuve sur Lot pour bien penser et vivre notre adieu à notre façon.
Celle d une amitié qui se tarira jamais .
C'est promis ma ISA.
Véronique Serey

Ma chère Isa,
Comment te dire toute la gratitude que j'éprouve de t'avoir connu toutes ces années. Merci infiniment d'avoir partagé avec moi ta joie du jeu, de la légèreté, de la générosité sans condition. Tu pars bien vite mais ça ne m'étonne pas de toi.
Je te garde bien vivante dans mon cœur.

Tu es morte… ces mots semblent si irréels.

Je te sens dans tout, tout le temps. Plus douce, plus présente que jamais.
Je sens ta paix, ta joie, la légèreté avec laquelle tu es partie. Tu n’es plus là, c’est si douloureux, et pourtant tu es partout, et c’est si bon. La plupart du temps, je l’aime, ce paradoxe. Le reste du temps, j’essaye juste de l’accepter.

Je garderai dans mon cœur nos jeux, les virées à Lisbonne, ton regard gourmand devant les bolas de berlim à Santiago do Cacém, tes câlins avec Paloma, ta façon, débordante d’amour, d’embêter Pio.

Bon vent, maman. Je t’aimerai toujours. Toujours. Pio et Paloma aussi. Ton gendre aussi.