Jean-Michel, mon grand frère, c'est une tristesse infinie que je ressens, toi dont j'entendais encore la voix, il y a peu, au téléphone. Une foule de souvenirs me reviennent en mémoire, ton électrophone des années 70, avec "Les matins d'hiver" de Lenorman, les chansons de Johnny, nos matches au stade Marcel Saupin, nos vacances à Tharon, etc.
"Tu aurais pu vivre encore un peu", chantait Ferrat. Oui, ton départ est prématuré, et l'on avait encore tant de choses à partager.
Au milieu des larmes, un univers parvient à se faire jour, celui que nous avons eu commun.
Je pense à toi, vivant, toujours vivant, et mes pensées t'accompagneront à jamais.